BCG – BayardBad 1

Voilà, notre Yawl a repris la mer… mais nous avons dû laisser l’un des nôtres à la capitainerie, non qu’il ait le mal de mer mais ramer en cadence avec le bras gauche alors que l’on est droitier c’est trop la galère… Il était quand même là, à nous donner le mouvement et observer notre lutte en terres inconnues …

Alors revoilà, notre Yawl à 2 mâts qui se dirige vers une terre polluée, où il est difficile de trouver une petite crique où ancrer le navire… où il est difficile de se frayer un chemin, tant il y a d’autres engins !

Bref après, on est (presque) prêts, (encore) détendus, (encore) souriants, (très) concentrés même si le pôle nord ne semble pas si loin… mais rien ne peut nous arrêter dans notre folle chevauchée, oui je m’emballe, mais pourquoi pas, on se lâche où on peut !

Après qu’écrire ? Écrire sur les joutes respectives, écrire que nos Mary Read et Anne Bony décident de prendre leur temps et se font plaisir avec une première joute perdue, mais les pagaies changées, la stratégie affûtée, les adversaires sont obligées de s’incliner !

Écrire que sur le terrain d’à côté notre détendu Bernardo se chauffe, il n’a toujours pas le bon élixir, même s’il tient la seconde joute mais soudainement il lâche le foc (fuck) …

Écrire qu’en fait les combats ressemblent presque à l’identique à la précédente bataille, même score, même combats gagnés, même combats perdus évidemment, même stress pour les mêmes personnes, même boulet en plastique, même boulet d’or…

Pourtant, si les similitudes sont nombreuses les différences sont étonnantes… Le combat des messieurs a bien failli se finir dans un bain de sang, nos deux combattants sur le même terrain finissent par se rentrer dedans, l’un donne un bon coup de raquette sur la tête de l’autre assommé, sonné mais ils marquent ce point d’anthologie, qui malheureusement ne sera pas suffisant, il en manquait 13 autres pour espérer une 3ème bataille …

Un autre point incroyable marqué par Ö., sur le mixte, où il parcoure quelques kms, allant chercher le volant au fin fond du petit carré, et où le point devait se terminer par un smatch adverse mais finit dans le filet, comme quoi, rien n’est jamais perdu !

Et puis ce deal de la fin, tous à l’eau ou tous à table…

On a choisit de se ravitailler avant de hisser la voile pour rentrer dans notre belle contrée, avant de rencontrer non pas le BCG, ça c’est fait, mais Susville ainsi est-elle nommée !

Fleur.

  1. Beau récit de notre capitaine. Les progrès notable de notre mixte sont malheureusement à pondéré par la voie d’eau déclaré 24 h plus tard au niveau de ma cuisse gauche et qui va surement m’obliger à la capitainerie avec Jean-Yves 🙁
    Il parait que ce qui ne tue pas rend plus fort… On va tout faire exploser en 2014 alors !

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