RENCONTRE BAYARD équipe 1 VS VILLARD BONNOT,

Le 10 novembre 14 Après avoir vogué toute une année sur des mers houleuses, après avoir encaissé de nombreuses défaites malgré les changements d’embarcation, après avoir subi plusieurs pertes (définitives ou passagères) de certains matelots, le capitaine de l’équipe 1 a décidé de débarquer et de poser pied à terre, les marins avaient le mal de mer ! Cette année, l’équipe est réduite à 5, nous avons là une pensée pour Pauline qui avait débarqué sur une île étrangère, l’année dernière… Donc, 3 hommes tous vaillants et costauds chacun avec leur force physique, tactique et énergétique, et bien sûr leur faiblesse, physique, tactique et psychologique ! Bon et sur les 2 femmes dont le capitaine qui écrit ce mail, elles sont tout simplement indomptables (là un cri s’impose, mais difficile de le re-transcrire par écrit) ! Donc, une belle équipe qui a quitté son maillot de marin, ses brassards ou bouée et son pompon rouge pour s’harnacher de piolet, crampons et trousse de survie pour franchir quelques montagnes et cols, voire quelques glaciers ! L’ascension ne sera pas toujours facile et l’objectif reste le plaisir du jeu heu pardon le plaisir de la grimpe et le maintien hors de l’eau oui, fini la noyade! Pour ce 1er col de Villard-Bonnot, l’équipe avait faim, très faim… Chacun a franchi ce premier obstacle, je ne dirai pas tranquillement, car J-No s’est fait peur, il aime les crevasses ! Mais les filles n’ont pas rencontré trop de difficulté, juste le stress de la première côte… N’est-ce pas capitaine… pour Laethitia, aucune difficulté, et elle n’a rien lâché… Le binôme Olivier / Jean-Yves se bonifie et le mixte surmonte un petit pic nerveux heu rocheux … Résultat, col franchi aisément, on peut proposer une autre rencontre, l’équipe est bien encordée ! Bien évidemment, au sommet du col, de quoi rassasier les morts de faim et de soif… Prochaine ascension Crolles… Capitaine Fleur.

  1. J’hésite entre deux cris :

    – Grrrrrrrrrr !
    – Rognutudjuuuuuuuu trés typique capitaine Fleur.

    Sinon je n’y avais pas pensé plus tôt mais : Caaaaaaaaa-pi-tain’ Fleur tu n’es paaaaaaaaaas… De no-tre Ga-la-xiiiiiiiiiiiiiiie mais du fond de la nuiiiiiiiiiiiiiit, Ca-pitain’ Fleur ! D’auuuuuuuuuussi loin que l’infiniiiiiiiiiii, tu descends jusqu’iciiiiiiiiiiiii pour sauver Pontcharraaaaaaaaaa !

    Yeah !

Répondre à Olivier Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.